Apprécier l’état physique de son cheval

C’est souvent difficile quand on est propriétaire de juger objectivement l’état de son cheval. Il faut avouer que l’on voit plus de chevaux un peu trop gros qu’un peu trop maigre (surtout à la belle saison). Avec la maigreur il y a l’image de la maltraitance, on se rend compte facilement qu’un cheval est fin, mais comment savoir si un cheval un peu rond ou vraiment trop gros ?

Les besoins fondamentaux du cheval

Si l’on envisage de prendre soin d’un cheval, il est nécessaire de connaître et de respecter les besoins vitaux du cheval. Il est vrai que depuis la domestication, le cheval a subi l’influence considérable de l’homme et a dû s’adapter en modifiant son comportement. La domestication ne suppose pourtant pas que les besoins instinctifs aient disparu. Connaître les besoins du cheval sauvage est donc essentiel, afin de comprendre quels sont les besoins du cheval domestiqué.

Comprendre et entretenir la dentition du cheval

Aucun cavalier ne devrait ignorer l’état de la bouche de son cheval, pour deux raisons très simples : Grâce au mors elle nous permet de communiquer et de sa santé, dépend directement celle de l’animal. Un cheval ombrageux ou amaigri peut présenter une pathologie dentaire. Si nous voulons un cheval disponible et en forme, mieux vaut connaitre cette partie de son anatomie ainsi que les symptômes qui reflèteraient une douleur.

Dossier CRTEB : « Comment acheter un bon cheval de loisir et de randonnée »

Le CRTEB souhaite mettre en avant le CHEVAL de loisirs et/ou d’extérieur.

Trop souvent encore, les « mauvais » chevaux de compétition ou de course sont réorientés vers le loisir ou la balade… et là, les ennuis commencent ! Ce n’est pas parce qu’un cheval n’a pas les performances sportives nécessaires à une carrière de crack qu’il a les très nombreuses qualités indispensables à un bon cheval de loisir.

« Saddle fitting », ou l’art de choisir la juste selle…

… ou du moins la selle « la moins pire » pour votre cheval !

Goûter-réflexion sur le saddle fitting à Chevaigné, dimanche 9 avril 2011

L’assemblée studieuse a bu – au soleil – les paroles de notre « master saddle-fitteuse » du jour, Audrey, qui nous a rappelé les critères généraux de choix d’une bonne selle (et a essayé de nous faire croire qu’elle n’avait pas du tout préparé son discours!)

Retrouver les Racines Biologiques des Emotions

Que nous « disent » nos EMOTIONS ? Que « faire » de nos EMOTIONS ?

L’émotion, c’est ce qui nous fait bondir de joie comme le faon dans la clairière, courir de peur pour traverser la rue comme un lapin devant le renard, ce qui motive ou démotive l’enfant qui apprend à lire et écrire comme le louveteau apprend les règles de la meute, ce qui nous fait rougir de colère comme la lionne rugit pour défendre ses lionceaux, nous laisse ….. sans voix comme le rossignol qui s’est arrêté de chanter, triste du départ de sa compagne à la fin de la saison des amours printaniers.

Complément de formation au POR de TREC

Voici un petit article pour compléter la formation « orientation/topographie » des futurs participants à l’épreuve de TREC organisée par l’AACIV à Montreuil le gast le 17 avril prochain! (voir article correspondant : https://www.aaciv.com/?p=1477)

Ceci concerne essentiellement les cavaliers qui, prenant leur courage à deux mains, franchissent cette année le pas de la division Amateur (Combien seront-ils? Le mystère reste entier!), et s’apprêtent à concourir sur l’épreuve Amateur Elite, dont le niveau correspond aux ex-épreuves régionales de ma jeunesse…

Le cheval, retour aux origines

Dans la vie de tous les jours, on a tendance à oublier que le cheval a été sauvage. Parfois cela nous revient brutalement, en effet le cheval a gardé des réactions instinctives. Les éthologues* s’accordent à reconnaître aux chevaux des besoins fondamentaux.

Besoin de se reproduire, d’être en bonne santé : Tout d’abord comme tout être vivant le cheval éprouve le besoin de se reproduire. De nos jours les hongres étant très fréquents, ce besoin est mis entre parenthèse. Gardons simplement à l’esprit que nous avons créé des chevaux qui n’auraient peut-être ni vu le jour, ni survécu à l’état sauvage.

Quant au besoin d’être sain, cela va de soit, un animal malade dans la nature ne fait pas long feu. Un cheval blessé, mal nourri ou obèse ressent d’instinct qu’il est en danger. Il en découlera une forme de stress, parfois insidieuse, qu’il faut savoir repérer.